tag:blogger.com,1999:blog-564282296121307542.post2833191815377470466..comments2024-02-06T11:11:47.867+01:00Comments on peut(-)être: 492 - LIVRE-AVRIL - 16 F (Provisoire)Julien Boutonnierhttp://www.blogger.com/profile/14282068256897444240noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-564282296121307542.post-42554407834208867622014-12-16T07:31:23.571+01:002014-12-16T07:31:23.571+01:00Bien vu ce désir d'entrer dans le corps et du ...Bien vu ce désir d'entrer dans le corps et du texte. J'ai lu vers la fin de l'été un immense roman policier où la torture était inimaginable, où le viol devenait virgule. C'était extrêmement bien écrit. J'aime les policiers, action extrême, si c'est bien écrit. <br /><br />Le viol, dans la réalité, n'est pas une virgule, tu le sais bien. Point final, plutôt, à l'enfance, à l'avant. Tu dirais la mort et tu aurais raison. Je me suis demandé comment tu aurais décrit le viol d'un garçon du même âge. Je cherche dans ton texte celui du patriarcat qui nous impose sa vision partout et jusqu'entre les lignes que l'on voudrait si personnelles et si libres, sachant la vacuité de ces termes.<br /><br />Dans la vulgarité de la langue, je vois jusqu'à l'odeur [de] - synesthésie poétique - la terre et les ronces dont tu cherches à envelopper ta peau afin de la forcer, l'enraciner, la bétonner dans la réalité. Puis, un glissement et TU réapparais, dans cette étape que j'imagine où ta langue à toi, tes mots à toi reprennent les commandes, où cet appel à/de la mort et de la douleur de la perte, fidèle compagne toxique, cherche son chemin de transition. J'en entends dans le rythme sa respiration, la tienne.<br /><br />C'est cette partie que je préfère. Là où tout doucement tu construis ce qui épaissit [pour reprendre ton terme] ton existence, qui donne consistance à ton existence - tu dirais au sens freudien, ton <i>moi</i> [mais je préfère là, le <i>moi</i> de Lacan] autant qu'à la parole écrite - et prononcée par qui te lit un peu autrement que par toi. <br /><br />Amitié, ZéoZéo Zigzagshttp://artth.netnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-564282296121307542.post-12700650292523509542014-12-03T10:07:48.735+01:002014-12-03T10:07:48.735+01:00J'y ai forcément pensé mais ignorant sa chrono...J'y ai forcément pensé mais ignorant sa chronologie j'ai bien vu que tu étais passé à un autre stade...Dominique Hasselmannhttp://hadominique75.woprdpress.comnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-564282296121307542.post-1666356404489766142014-12-03T09:28:30.662+01:002014-12-03T09:28:30.662+01:00Merci Dominique de ton passage. Oui, j'ai écri...Merci Dominique de ton passage. Oui, j'ai écrit ce texte il y a longtemps, traumatisé par la lecture de tous les romans de Céline. Pour me défaire de la fascination exercée sur moi par cette oeuvre, il a fallu que j'en passe par là. J'ai un rapport difficile avec cet écriture dont je ne sais trop évaluer si elle existe en elle-même ou seulement dans sa référence à Céline. <br />Bonne journée à toi. Julien Boutonnierhttps://www.blogger.com/profile/14282068256897444240noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-564282296121307542.post-74742073106314739232014-12-03T09:20:30.488+01:002014-12-03T09:20:30.488+01:00Céline avait raison (question style).Céline avait raison (question style).Dominique Hasselmannhttp://hadominique75.woprdpress.comnoreply@blogger.com